Pourquoi les huîtres Gillardeau aux Petits Plats du Bourbon ?

Pourquoi les huîtres Gillardeau aux Petits Plats du Bourbon ?

S’il y a UN produit qui rime avec festif … c’est bien les huĂ®tres ! Mais les gourmets le savent, il y a « huĂ®tres » et « huĂ®tres ».
 
En ce qui nous concerne, nous avons fait notre choix depuis bien longtemps, celui des Huîtres Gillardeau. 
 
Notre Chef Christophe Lot travaillait avec la Maison Gillardeau avant mĂŞme de poser ses valises Ă  Bourges, et les a mĂŞme rencontrĂ©s plusieurs fois sur l’Ă®le d’OlĂ©ron. Nous sommes d’ailleurs honorĂ©s d’ĂŞtre livrĂ©s chaque annĂ©e, car nous savons que c’est un produit rare. L’huĂ®tre Gillardeau est prisĂ©e et ça ne date pas d’hier !
 
La maison Gillardeau à été fondée en 1898 par Henri Gillardeau dans le bassin de Marennes-Oléron. Des 1928, elle livre déjà les Halles de Paris. De nos jours, les huîtres Gillardeau sont consommées partout en Europe, et dans le monde entier.
 
D’ailleurs, afin d’éviter toute contrefaçon, la Maison a dĂ©cidĂ© en 2014 de graver toutes ses huitres au laser.
 
A travers les années la Maison a continué à se développer dans le giron familial. En 1998 Thierry et Véronique Gillardeau rejoignent Gérard Gillardeau dans l’aventure pour les 100 ans de la maison. Et en 2004, elle ouvre une dizaine de parcs supplémentaires pour répondre à la demande de plus en plus forte.
 
MalgrĂ© ce dĂ©veloppement, les huĂ®tres Gillardeau sont livrĂ©es au compte-goutte. Bref, un produit d’exception Ă  dĂ©guster en conscience !
Rencontre avec Guillaume Lajoinie, maraîcher

Rencontre avec Guillaume Lajoinie, maraîcher

Guillaume aime la terre, sa terre, et il n’est pas devenu maraĂ®cher par hasard …
Technico-commercial dans l’agriculture pendant 12 ans, Guillaume a voulu se rapprocher au plus près de sa terre : en 2019, il fait le pas en crĂ©ant son entreprise de maraichage dans les marais de Bourges.
Depuis, il s’attache Ă  produire des cultures 100% biologiques. Travailler la terre avec les avantages et les inconvĂ©nients qu’implique ce mĂ©tier, est une motivation pour lui. Mais plus encore, produire des produits naturels sans aucun traitement.
Il est particulièrement fier de sa production de tomates. Et comme on le comprend ! C’est tellement difficile de nos jours de trouver des bonnes tomates. Cette production 50% de la surface qu’il exploite, et selon lui, c’est un produit qui aime beaucoup le terroir Berrichon.
Sa petite entreprise a bien Ă©voluĂ© depuis 2019, puisqu’il a ouvert une seconde exploitation Ă  Saint Martin d’Auxigny.-La rĂ©alisation dont il est le plus fier est d’avoir créé un magasin a la ferme, ainsi qu’un petit « bistrot marché » oĂą il propose des planches Ă  la ferme, tous les vendredis soirs.
Il a commencĂ© Ă  travailler avec les chefs du Cercle, puis il a poursuivi l’aventure aux Petits Plats du Bourbon.
Il est très fier de travailler avec une table comme la nôtre et de pouvoir voir ses légumes valorisés dans nos plats
Il serait ravi de pouvoir recevoir les chefs chez lui pour leur faire découvrir les planches de sa production.
Plus d’informations ici :
https://www.legoutdessaisons18.com/
Rencontre avec … Matthieu Mabillot, vigneron

Rencontre avec … Matthieu Mabillot, vigneron

« Un grand-père céréalier, un père céréalier et viticulteur = des frères entrepreneurs … la preuve par 3 : agriculture, viticulture et distillerie ! »
C’est ainsi que Matthieu et Renaud Mabillot se prĂ©sentent sur leur site internet.
 
Pour Matthieu, amoureux du terroir et du vin, le mĂ©tier de vigneron s’inscrit en effet dans la continuitĂ©. Après plusieurs annĂ©es Ă  explorer le monde du vin et de la viticulture dans d’autres contrĂ©es, il est tout naturellement revenu dans son terroir natal, dans l’appellation Reuilly. En 2009, les deux frères reprennent l’exploitation de leurs parents, Ă  la fois Ă  la vigne et au champ. Pour eux, l’ambition est de perpĂ©tuer la tradition familiale, produire de beaux vins, donner du plaisir et faire connaitre les petites appellations.
 
C’est dans ce contexte qu’il croise le chemin du Chef Pascal Chaupitre, lors d’une Ă©mission commune au micro de Denis Hervier (France Info). Depuis cette date, les belles cuvĂ©es du Domaine Mabillot ne quittent plus la carte des Petits Plats, Ă  Bourges comme Ă  Vierzon.
 
La rĂ©alisation dont les deux frères sont les plus fiers c’est d’avoir pu monter une distillerie, qui plus est en famille. L’orge produite sur les diffĂ©rentes parcelles de l’exploitation agricole est ainsi transformĂ©e en un whisky haut de gamme. Ainsi la boucle est bouclĂ©e !
 
Cette nouvelle aventure n’a toutefois pas empĂŞchĂ© Matthieu de crĂ©er de nouvelles cuvĂ©es. Parmi celles-ci, Matthieu (et nous-mĂŞmes) vous recommandons la cuvĂ©e Le Haut de la Pente, un sauvignon vieilli en fĂ»t de chĂŞne dotĂ© d’une magnifique robe dorĂ©e et d’un cĂ´tĂ© salin qui ne laissera personne indiffĂ©rent.
 
Le petit mot de Matthieu : « je souhaite saluer Les Petits Plats du Bourbon, une belle table sur Bourges, avec des personnes humaines aussi bien en cuisine qu’en salle. Deux chefs remarquables et une belle amitié »
 
Pour plus d’information sur le Domaine Mabillot
Qui sont Annie et Séverine ?

Qui sont Annie et Séverine ?

C’est le dernier portrait du mois, et celui-ci est un peu particulier, Ă  plusieurs titres. D’une part, parce qu’il prĂ©sente deux personnes. D’autre part, parce qu’elles sont dans l’ombre des Petits Plats. Et pour finir, parce qu’elles sont de la mĂŞme famille  …
 
Vous les avez peut-être croisées au restaurant, un appareil photo à la main, ou en train de filmer avec leur téléphone, car ces deux-là sont derrière tout ce que vous lisez et voyez sur les Petits Plats du Bourbon, et également sur les Petits Plats de Célestin.
 
Annie Chaupitre et SĂ©verine Semat sont en effet « l’Ă©quipe communication » des Petits Plats. Belles-soeurs Ă  la ville (Annie est la femme du Chef Pascal Chaupitre, et SĂ©verine la sĹ“ur du Chef), elles forment une Ă©quipe qui fonctionne depuis une dizaine d’annĂ©es, donc l’Ă©poque du Cercle, pour ceux qui ont connu le restaurant Ă©toilĂ© de Pascal Chaupitre et Christophe Lot.
 
Au-delĂ  de ce lien familial, elles ont un point commun majeur : leurs papas se connaissaient, l’un boucher Ă  Plaimpied, l’autre maquignon Ă  Vierzon. De lĂ  viennent leur appĂ©tence pour la viande et les bons Petits Plats en gĂ©nĂ©ral. Dans ces deux familles, la cuisine faisait partie de la vie quotidienne. Elles sont elles aussi tombĂ©es dans la marmite très jeunes, et elles perpĂ©tuent cette tradition dans leur propre famille aujourd’hui.
 
Ensemble, elles Ă©laborent la stratĂ©gie de communication pour les deux Ă©tablissements. BasĂ©e Ă  Toulouse, SĂ©verine, graphiste et communicante, se repose sur Annie (qui gère Ă©galement tout l’administratif des 2 restaurants) pour crĂ©er les contenus – photos et vidĂ©os – ainsi que sur les Ă©quipes en place. Elle orchestre ensuite ces contenus pour les diffuser sur les rĂ©seaux sociaux ou via la newsletter, et a créé et gère Ă©galement le site internet.
 
VoilĂ , vous savez tout. Maintenant, vous les reconnaitrez quand vous les verrez en train de vous filmer !

 

Leur recette : le riz au lait comme chez Bernard Loiseau

Vous l’imaginez bien, Annie et SĂ©verine partagent beaucoup de repas de famille. Elles aiment aussi prĂ©parer ensemble des plats, et surtout des desserts. Celui-ci est une rĂ©fĂ©rence dans la famille, en mĂŞme temps qu’il fait Ă©cho au chef Bernard Loiseau, chez lequel Annie a travaillĂ©.

Ingrédients pour 4 gourmands

100 g de riz rond spécial dessert
50 cl de lait
1 gousse de vanille
2 jaunes d’oeuf
40 g de sucre en poudre
1 sachet de sucre vanillé
30 g de beurre salé
 
Faire blanchir le riz dans une grande casserole d’eau bouillante salĂ©e pendant 5 minutes environ. L’Ă©goutter et verser le lait dans la casserole, ajouter une pincĂ©e de gros sel et la gousse de vanille fendue dans la longueur.
Quand le lait frémit, ajouter le riz et le faire cuire à feu doux pendant 15/20 minutes selon les variétés de riz. Il faut que les grains soient cuits mais restent entiers. Retirer la gousse de vanille en la raclant pour intégrer tous les grains dans le riz.
Dans un saladier, fouetter les jaunes d’Ĺ“uf avec les deux sucres jusqu’Ă  ce que le mĂ©lange blanchisse. Incorporer le riz, puis ajouter le beurre coupĂ© en petits morceaux, et bien mĂ©langer.
Laisser refroidir, ou non ! Et déguster !
Le portrait du Chef Christophe Lot

Le portrait du Chef Christophe Lot

Christophe Lot, co-gĂ©rant et chef des Petits Plats du Bourbon aux cĂ´tĂ©s de Pascal Chaupitre, est un grand curieux quand il s’agit de cuisine. C’est d’ailleurs un plat rĂ©alisĂ© par Youba, un de nos serveurs, pour le repas de NoĂ«l (l’AttiĂ©kĂ© – dont vous avez eu la recette) qui lui a inspirĂ©  son plat coup de cĹ“ur du moment : « Le poisson du jour Ă  la banane plantain, attiĂ©kĂ© et herbes fraĂ®ches  « .

Cet intĂ©rĂŞt pour la cuisine en gĂ©nĂ©ral ne date pas d’hier, et chose originale, c’est auprès de son père qu’il a affirmĂ© son goĂ»t pour la  cuisine. Originaire de Reims, et ayant passĂ© toute sa jeunesse dans la Marne, il se souvient d’une maison familiale toujours bien remplie. Ses premiers souvenirs remontent aux repas interminables pour l’Epiphanie suivis de parties de cartes, ou les jours oĂą sa mère prĂ©parait des tripes pour trente personnes, ou encore des couscous gĂ©ants de son oncle. Bref une famille très conviviale et amatrice de bonne chère.

Enfant, c’est aux cĂ´tĂ©s de sa grand-mère que Christophe se nourrit (dans les deux sens du terme) des recettes familiales, en particulier pendant les grandes vacances. Mais plus tard, et mĂŞme encore maintenant, c’est auprès de son père qu’il s’ouvre Ă  d’autres inspirations. C’est donc très jeune que lui vient l’idĂ©e de devenir cuisinier, et c’est Ă  l’adolescence que s’affirme cette orientation.

Il dĂ©marre ses Ă©tudes par une Ă©cole hĂ´telière Ă  Strasbourg, pendant quatre ans. Puis il intègre Les Crayères Ă  Reims (3 Ă©toiles au Guide Michelin) auprès de GĂ©rard Boyer, et c’est lĂ  qu’il fait la connaissance de Pascal, qu’il ne perdra jamais de vue ensuite. Il poursuit son parcours Ă©toilĂ© Ă  l’Oustau de Baumanière en Provence, puis Ă  la cĂ´te Saint-Jacques en Bourgogne. En 2011, il rejoint Pascal Ă  Bourges pour ouvrir le Cercle, un duo gagnant puisqu’ils obtiennent une Ă©toile l’annĂ©e suivante. En 2014, ils poursuivent leur aventure en ouvrant les Petits Plats du Bourbon.

Comme son comparse, Christophe a beaucoup d’humour et est apprĂ©ciĂ© par son Ă©quipe pour sa rigueur, mais aussi son Ă©coute.

 

Sa recette : les faverolles

Christophe vous propose une recette traditionnelle de sa rĂ©gion. Ce sont des petits beignets en forme de losanges que l’on dĂ©guste pour mardi gras … ou toute l’annĂ©e pour se rĂ©galer … Un goĂ»ter idĂ©al pour les enfants cet Ă©tĂ©.

Ingrédients pour 6 personnes (gourmandes)

500 g de farine
100 g de beurre
40 g de sucre + 1 sachet de sucre vanillé
5 œufs
1 sachet de levure chimique
7 cl de lait
5 g de sel
 
 
 
Faire fondre le beurre, mélanger tous les ingrédients secs puis ajouter le beurre fondu, les œufs et le lait pour obtenir une pâte homogène. Couvrir et laisser pousser deux bonnes heures à température ambiante. Etaler la pâte à ½ cm d’épaisseur et tailler des losanges à l’aide d’une roulette, les faire frire à 170° dans un bain d’huile ou une friteuse. Egoutter sur un papier absorbant et saupoudrer de sucre glace avant de les servir.